Certains à Tunis qui ont cru bon de miser sur la descendante politique du fasciste Benito Mussolini

Alors qu’un raz de marée de contestation politique et populaire secoue l’Italie en raison de l’opposition de la présidente du conseil à toute reconnaissance de l’état de Palestine comme l’ont fait de nombreux pays européens et notamment les voisins espagnols et français, Giorgia Meloni se trouve sérieusement contestée et fragilisée malgré ses quelques performances économiques et migratoires.

La vague de contestation de Meloni semble causer des soucis à Washington et à Moscou en raison de sa position moins belliqueuse que ses collègues européens au sujet de l’Ukraine, de même qu’à Jérusalem occupée en raison du revers que représenterait la reconnaissance de l’état de Palestine par un gouvernement italien porte-drapeau de cette extrême droite européenne qui a été travaillée au corps par le sionisme international pour en faire le fer de lance contre le « radicalisme islamiste, ennemi juré de la civilisation judéo-chrétienne ».

Certains à Tunis qui ont cru bon de miser sur la descendante politique du fasciste Benito Mussolini doivent avoir des nuits blanches.

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