« Un peuple qui oublie son passé ne peut pas avoir d'avenir »

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Il y a dix ans, jour pour jour, c'était le début de la fin pour un certain régime policier implacable qui cultivait le culte de la personnalité pour un, ne tolérait le développement que pour une minorité et imposait le silence à tous.

Bien sûr que cette transition démocratique est pleine de vicissitudes et de désillusions, percluse de période d'abattement et de découragement compte tenu de la nature de la classe politique qui a émergé depuis et qui porte en bandoulière les ferments de la division.

Durant laquelle période, des gouvernements se sont succédé, plus occupés à faire croire qu'à faire... Et au bout, partout les mêmes poches de chômage, de sous-emploi, de misère sociale, économique et culturelle.

De tout ce qui précède, il n'empêche que c'est mieux maintenant parce que la plupart de nos libertés ont été recouvrées. Et que les aspirations à une vie meilleure dans une société plus juste ne seront jamais éteintes. C'est ce qui compte le plus n'en déplaise aux nostalgiques de l'ordre à tout crin.

Un peuple qui oublie son passé ne peut pas avoir d'avenir disait Churchill…

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