En faisant lever le siège de devant « l’association des oulémas »et en faisant démontrer manu-militari les tentes des compagnons de Madame Abir Moussi, l’Etat a fini par montrer ses crocs et la démocratie s’est défendue contre le fascisme.
Nous ne pouvons, à cet égard, que nous féliciter que force est restée à la loi et que la loi de la jungle ne saurait être tolérée en Tunisie.
Madame Abir Moussi a cru pouvoir transporter dans la rue la “chienlit” qu’elle provoque quotidiennement au parlement. Elle s’est lourdement trompée.
Elle croyait pouvoir insulter l’intelligence des Tunisiens en nous amenant dans une guerre éculée et qui n’a aucune raison d’être entre soi-disant islamistes et soi-disant modernistes.
L’heure n’est plus à ces « imbécilités » primaires de …”جهاد النكاح”.
Nous l’avons toujours dit,le combat de maintenant et de toujours est celui entre démocrates et anti-démocrates et Mme Moussi et son Parti sont des anti-démocrates.Les préoccupations des Tunisiens aujourd’hui ne sont pas les fadaises d’une démagogie grossière mais les préoccupations socio-économiques du quotidien.
Le fascisme ne passera pas.