L’assassinat de Charlie Kirk annonce une nouvelle phase meurtrière dans la désintégration des États-Unis, querelleurs et très polarisés. Alors que la rhétorique toxique et les menaces sont lancées au-delà des clivages culturels comme des grenades à main, dégénérant parfois en violence pure et simple

Farhat Hached a écrit ces mots avec le sang des martyrs, avec le souffle des grèves, avec l’espoir tenace d’un peuple debout.

Le fascisme qui a produit – et produit – le génocide à Gaza est un fascisme qui a appris à se déguiser en civilisation, à parler le langage de la sécurité, à se présenter comme un gouvernement complexe. C’est un fascisme technocratique intégré, administratif. Il n’explose pas, il organise.

Israël pousse à l’extrême l’exceptionnalité américaine, c’est-à-dire cette position d’étranger au droit international et de revendication d’un pouvoir absolu, « absolu » dans le sens de dissous, détaché des déterminations en dehors du périmètre de privilège dont il émane.

Les mots sont importants parce qu’ils stimulent les passions et que ces passions ont un impact sur la vie politique. En ce sens, il s’agit d’une réflexion sur l’État et les passions, et sur La trame garante des monopoles mondiaux des entreprises à travers la colère et la haine.

Qu’est-ce qui a conduit à ce que ces abominations humaines aient désormais un statut de citoyenneté et même de justification morale auprès des élites économiques et de segments des classes moyennes dans les pays du monde ?

La photo est une reconstitution de la météorite 2024YR4, qui pourrait frapper la Terre le 22 décembre 2032. Ils l’appellent astéroïde, mais pour moi, c’est une roche identique,