Depuis 2011, la Tunisie a oscillé entre promesses démocratiques et blocages systémiques. Derrière les slogans de rupture, une autre trajectoire, s’est dessinée

Notre dilemme c'est que , par naïveté et inexpérience...nous avons voulu le beurre, l'argent du beurre et le « cul » de la crémière...Préserver l'ordre ancien, avec toutes ces tares reconnues et le guérir progressivement de ses maux...Nous payons aujourd'hui les frais de cette erreur historique…

Le comble de la malignité et de la perversion morale et intellectuelle consiste à associer démocratie et corruption alors que ce pays a été gouverné sous deux dictateurs par des mafieux, des kleptocrates, des courtisans voleurs de poules et la pire racaille de la société, sa lie.

...la capacité de supporter, jour après jour, les agaceries et tout ce triste spectacle sans perdre son calme... Voilà : à chacun son dû !

Madame Moussi souille jour après jour la vie parlementaire, il n’y a pas d’autre qualificatif.

Les fascismes ont toujours eu besoin de ces faux démocrates pour démanteler les libertés et asseoir leur hégémonie, ceux-là leur donnent crédit et crédibilité en étant leurs complices et leurs nervis.

Elle croyait pouvoir insulter l’intelligence des Tunisiens en nous amenant dans une guerre éculée et qui n’a aucune raison d’être entre soi-disant islamistes et soi-disant modernistes