Carnets de voyage : Les Galápagos

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Les Galápagos, la biosphère la plus extraordinaire qui soit, sont un chapelet d’îles et d’îlots à 1000 kilomètres de distance des côtes équatoriennes. On compte 13 grandes îles, 6 petites îles, 107 îlots et quelques cailloux.

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Le relief y est ingrat, montagneux à l’intérieur pour l’essentiel des îles et îlots, les rives sont le plus souvent déchiquetées entre rochers et mangrove. La végétation y est pauvre, surtout des épineux sauf en hauteur où elle est plus luxuriante. L’entrée aux Galápagos est strictement réglementée, tout visiteur doit s’acquitter d’un droit d’entrée fixé à 100 dollars par personne. Le séjour y est strictement contrôlé car 97% du territoire est protégé et classé réserve naturelle. Les îles en question depuis 1986 plus la réserve marine depuis 2001.

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Les Galápagos abritent de nombreuses espèces animales endémiques, certaines sont uniques : la tortue géante, l’animal emblématique, lézards, laves, iguanes et autre reptiles. Des oiseux de tout plumage et de toute envergure. Des cormorans, des albatros des frégates et le fameux pinson avec ses nombreuses déclinaisons à l’origine des premières fascinations de Darwin. Plus de 300 espèces de poissons et de mammifères marins, pingouins, otaries, lions de mer, baleines, requins, plus de 16OO insectes différents dont 80 araignées et 300 coléoptères, 80 espèces d’escargots de terre, 650 espèces de coquillages, 120 espèces de crabes etc.……etc. … une multitude de petits animaux.

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La flore est d’une diversité époustouflante, fougères, orchidées, goyaves, ficus de toute sorte, on y trouve même notre"Hendi" national.

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Ce parc ultra protégé subit malgré tout les mille inconvénients de la colonisation humaine. Longtemps isolé à l’ écart des routes maritimes, il a été approché par les boucaniers et flibustiers puis par les baleiniers puis l’annexion à l’Equateur fit le reste. Le trafic maritime avec le continent introduit inéluctablement et sournoisement, fourmis, rats sans parler des chats et chiens en compétition directe avec la faune résidente.

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Des efforts surhumains sont faits au quotidien, sur terre et sur mer, pour protéger ce paradis le plus longtemps possible mais personne ne se fait trop d’illusion car la pression touristique est trop forte, aussi réduite et contrôlée soit-elle.

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