Cet article publié dans "La Presse" en est un exemple achevé; une diatribe contre tout esprit critique ou opinion différente, écrite avec la morgue satisfaite de quelqu’un qui confond journalisme et conformisme intellectuel prêt-à-penser.
La terre soudanaise ploie sous un hiver sans saison, et ce qui s’y déroule n’est pas simplement une guerre entre généraux mais une lente démolition de la condition humaine.
Vu de loin au moins, le dialogue islamo-chrétien donne l’impression d’être à la peine. On ne se doute pas des enjeux qu’il revêt. Raison pour laquelle peu de gens s’enthousiasment de ses progrès ou, à l’inverse, se désolent de ses blocages.
En inversant la formule de Clausewitz, aujourd’hui la politique n’est rien d’autre que la continuation de la guerre par d’autres moyens.
En Tunisie, le pouvoir adore les rideaux. Plus ils sont lourds, plus ils cachent le vide derrière. La scène est réglée comme une horloge…
Les gouvernements tunisiens successifs depuis 2011 n’ont apparemment pas suffisamment rationalisé que l’effondrement du régime Ben Ali n’est pas la fin du despotisme, de la corruption et de la mal gouvernance mais plutôt le spasme d’une agonie interminable d’un modèle socio-économique en décrépitude
Elle représente plus qu'un simple retour à la croissance ; c'est une transition forte et durable vers une santé durable. Ce processus débute par une vigueur cyclique, caractérisée souvent par un rebond rapide et soutenu après les creux de la récession…
Les Semeurs.tn الزُّرّاع