Le génocide à Gaza est le plus grand crime de ce siècle. Il reviendra pour tourmenter Israël. Il nous hantera à nouveau. Il portera à notre porte le mal que nous avons perpétré contre les Palestiniens.

Le génocide en cours met en évidence les hypocrisies de l'Occident, son incohérence morale, sa lâcheté. Il montre que les "valeurs européennes" ne sont que de la rhétorique, des paroles en l'air.

Comment est-il possible qu’à Gaza, dans les mêmes lieux de méfaits similaires décrits dans la Bible, l’armée israélienne armée par les États-Unis extermine sans pitié des milliers de femmes et d’enfants sans susciter de réactions d’horreur en Occident ?

De quelle dynamique parlons-nous ? Ou faut-il maintenant piétiner les sentiments des peuples arabes après avoir laissé piétiner le peuple palestinien tout son soûl ?

Mais si les machinations diaboliques des sionistes et de leurs lobbies ont précipité la chute précipitée de notre politique, l’Amérique a perdu l’accès à un monde magnifiquement moral bien avant qu’il ne parraine la campagne de terreur des Israéliens à Gaza et récemment en Cisjordanie…

En fin de compte, la protestation des désespérés est également arrivée de Gaza, devant les photographes qui attendaient.

Le 25 mars, le gouvernement du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a adopté son budget 2025, longtemps retardé.