la guerre menée contre Gaza n’a pas été portée par l’occupant seul, mais soutenue par les réservoirs d’une vingtaine de pays qui, entre novembre 2023 et octobre 2025, lui ont livré plus de 21 millions de tonnes de pétrole et de produits raffinés.
Aujourd’hui, Le Caire tente un exploit bien plus audacieux : combler le fossé entre Washington, son allié israélien, et Téhéran. La tâche est gargantuesque
Au début du mois d’août, la société énergétique israélienne NewMed a annoncé un accord record de 35 milliards de dollars pour fournir du gaz naturel à l’Égypte, triplant ainsi ses importations actuelles et liant l’avenir énergétique du Caire à son voisin jusqu’en 2040 au moins.
Pour commencer, rappelons des évidences qui peuvent échapper à certains, concernant la nature de l’initiative à laquelle nous avons participé
La dernière série de négociations sur le cessez-le-feu à Gaza au Caire résume le paradoxe angoissant qui s’empare de l’enclave dévastée.
La perspective de Huntington invite à reconnaître que les institutions démocratiques peinent à s’épanouir sans un environnement culturellement favorable, tout en offrant un cadre utile pour comprendre les dynamiques inégales de la démocratie à l’échelle mondiale.
L’Égypte et la Jordanie reçoivent annuellement des aides américaines de 1,5 et 1,6 milliard de dollars respectivement, depuis l’accord de Camp David en 1978 et l'accord de paix avec l'entité sioniste en 1994.
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