Trump peut apporter la paix s’il revient à la diplomatie. Oui, il devrait faire face au complexe militaro-industriel, au lobby sioniste et aux fauteurs de guerre, mais il aurait le monde et le peuple américain de son côté.

l’accord de paix est parti en fumée en quelques jours, prouvant une fois de plus et irréfutablement qu’on ne peut pas faire confiance à USRAËL, qu’il n’y a aucune volonté de faire une paix réelle, et que la grande expérience de la propagande médiatique a fonctionné, Comme toujours.

Le fait est que dans les cercles de Trump d’aujourd’hui, non seulement il n’y a pas de peur de la guerre, mais il y a cette illusion non fondée de la puissance militaire américaine

Aujourd’hui, Blair n’apparaît pas simplement comme un « conseiller », mais comme un fonctionnaire chargé de protéger les intérêts communs d’Israël et de l’Occident à Gaza et de gérer la phase de transition d’après-guerre.

Cette « paix » n’est pas la fin de la guerre: elle en représente la continuation par voie administrative. C’est une restructuration coloniale. Plus, de chars visibles, légèrement reculés mais toujours menaçants, derrière des chaînes de commandement plus raffinées : infrastructures numériques, flux f

Pour Trump, c'était là la véritable victoire, non seulement le premier pas vers la fin de cette guerre génocidaire contre les civils palestiniens, mais aussi la démonstration de qui, enfin, donne les ordres.

Nous affirmons que les sacrifices de notre peuple ne seront pas vains. Nous restons fidèles à notre engagement et n'abandonnerons jamais nos droits nationaux tant que la liberté, l'indépendance et l'autodétermination ne seront pas acquises.