Cette « paix » n’est pas la fin de la guerre: elle en représente la continuation par voie administrative. C’est une restructuration coloniale. Plus, de chars visibles, légèrement reculés mais toujours menaçants, derrière des chaînes de commandement plus raffinées : infrastructures numériques, flux f
Nous affirmons que les sacrifices de notre peuple ne seront pas vains. Nous restons fidèles à notre engagement et n'abandonnerons jamais nos droits nationaux tant que la liberté, l'indépendance et l'autodétermination ne seront pas acquises.
À quoi sommes-nous confrontés ? Comment pouvons-nous interpréter ces événements apparemment lointains ? À mon avis, nous assistons à une confrontation continue entre le pouvoir et la justice. Il me semble que c’est la lutte qui définit notre époque, et elle s’aiguise au moment où nous parlons
Sans mécanismes applicables, sans feuilles de route, sans calendrier, sans vérification progressive et sans véritable appropriation locale, cela risque d'être un spectacle éphémère, et non une paix durable.
si la protestation ne devient pas politique, si elle ne se reconnaît pas dans un projet de société et de vie et ne s'institutionnalise pas en véritables partis (…), tout s'essoufflera dès la fin des hostilités et de la couverture médiatique, et il ne s'agira alors que d'une forme de divertissement g
Aujourd’hui, cet état de choses est malheureusement dans sa forme la plus populaire, totalement accepté, consolidé, aggravé par la subordination aux États-Unis qui nous cloue irrévocablement à notre condition coloniale dans laquelle notre culture se perd progressivement
À ce jour, 150 des 193 États de l’ONU ont reconnu la Palestine, certifiant l’isolement international de plus en plus marqué d’Israël.
Les Semeurs.tn الزُّرّاع