Le 2 septembre 2025, à Marseille, Abdelkader Dhibi, citoyen tunisien, a été abattu par la police française. Sept balles tirées, alors que d’autres moyens existaient pour l’interpeller. Le drame est filmé, documenté.

Quelqu’en soient les arguments et prétextes, nul, de bonne foi, ne peut nier que la diplomatie tunisienne a connu de meilleurs jours.

Il est indéniable que l'humanité est entrée dans une nouvelle phase d'effervescence destinée à enfanter des correctifs radicaux

Israël ne reconnaît pas officiellement son programme nucléaire et pourtant cette question n'est presque jamais évoquée dans les médias et dans les discussions politiques.

La gauche tunisienne, dans sa forme contemporaine, semble s’être enfermée dans un cercle virtuel. Depuis 2011, cette mouvance, qu’elle soit d’obédience extrême, médiane ou sociale-démocrate, donne l’étrange impression d’une parole qui s’agite, mais n'agit pas.

Le rapport "Perspectives économiques régionales. Rapport Moyen-Orient et Asie centrale'', publié le 25 mai par le FMI, présente des perspectives prudemment optimistes pour la Tunisie, soulignant son potentiel de reprise et de croissance tout en reconnaissant les défis persistants posés par l’instabi

Que faire du projet salafiste ? Il semble que la question reprenne une certaine actualité, au vu peut-être des signes d'un changement politique prochain sous nos latitudes qui mettrait le pays en position de relancer sur de nouvelles bases le projet démocratique.