Était-elle fautive, prise au dépourvu face à une malversation ou à une infraction administrative ?Sa déstabilisation était en fait manifeste ; une déstabilisation intrigante mais interprétable, même si les informations ne sont pas disponibles.

Il est tout simplement humiliant et révoltant d’entendre des voix algériennes, heureusement minoritaires, parler de la Tunisie en tant qu'État failli qui dépend de l'Algérie pour se nourrir et que la solution serait pour l'Algérie d’absorber la Tunisie et d'en faire une wilaya algérienne.

Ce show populiste et ringard peut accroître la popularité du Président auprès de ses affidés et de ses supporters, férus de sang et de chaudes empoignades, mais...il dépossède l'Etat et ses institutions de toute crédibilité, de toute autorité...l'assimilant ainsi à un "machin" qui doit obéir au doig

Aujourd'hui, il semble bien que ce quotidien ait retrouvé son ancienne place de journal à la botte - ou à la chléka - du pouvoir, pour reprendre l'allusion de la caricature en question. C'est du moins ainsi qu'il est perçu par beaucoup. Et j'observe qu'il ne manque pas de donner du grain à moudre à

Le cas Bouden est un cas à part...Elle n'est ni dissipée, ni effacée, elle est carrément inexistante....

Après avoir vu et revu la singulière entrevue du chef de l’état avec le chef du gouvernement on ne peut en sortir qu’avec une impression de désarroi et de gâchis.

Le président de la République s'est embarqué seul dans une fuite en avant le menant tout droit vers l'isolement politique.