La question palestinienne, depuis des décennies, est prise dans un nœud complexe de culpabilité historique, de mémoire européenne et états-unienne, et de stratégies impériales contemporaines
La mort de Nour Abu Sala’a, 10 ans, symbole tragique de la crise humanitaire à Gaza, a ramené l’attention sur la catastrophe en cours
Les perspectives de négocier un cessez-le-feu et de mettre fin à la catastrophe humanitaire dans la bande de Gaza semblent plus sombres que jamais.
Un autre entrepreneur américain aurait raconté des histoires d’horreur sur son travail pour la Global Humanitarian Foundation, l’organisation responsable de la distribution de nourriture à Gaza.
Aujourd'hui, Israël et l'empire américain monopolisent la distribution de l' « aide »par l'intermédiaire de la soi-disant Fondation humanitaire de Gaza, dont les structures voient des civils massacrés quotidiennement pour avoir tenté d'obtenir de la nourriture.
Gaza meurt sous les bombes et la famine, tandis que les diplomaties du Nord se dérobent à leurs responsabilités.
Nous ne sommes plus seulement spectateurs, nous sommes complices. Oui, c'est nous, les lâches, les indifférents, qui avons permis que cette faim devienne une condamnation à mort, que cette injustice devienne une normalité.
Les Semeurs.tn الزُّرّاع