
Dans son communiqué officiel, le FMI apporte son soutien à la Loi de Finances 2018, notamment aux augmentations d’impôts sans toutefois émettre le moindre souci ni la moindre réserve quant à leurs impacts vraisemblables sur la croissance économique, sur le pouvoir d’achat et sur l’économie souterraine.
Quand le FMI octroie des Crédits pour financer le Titre 1 du budget de l’Etat, comment peut-on l’assimiler à un bon conseiller?
Les crédits des IBW (FMI, BM, BAD, …) qui finançaient depuis 2013 des ‘‘amplificateurs’’ de dépenses stériles, et non des investissements créateurs de richesses, ne pourraient être remboursés qu’en faisant saigner le contribuable et en acculant le pays à se dessaisir de ses actifs.
De par le consentement humiliant des nos princes, il appartient au peuple Tunisien de faire connaître au FMI son avis sur l’opportunité de son plan d’asservissement.