Gabès ne demande pas la lune. Elle demande qu’on cesse de l’empoisonner. Et si cela implique de repenser un modèle industriel obsolète, alors qu’il en soit ainsi. Car ce qui coûte cher, ce n’est pas la fermeture du groupe, c’est son maintien. Ce qui menace le pays, ce n’est pas le prix de la patate,

Les mots sont importants parce qu’ils stimulent les passions et que ces passions ont un impact sur la vie politique. En ce sens, il s’agit d’une réflexion sur l’État et les passions, et sur La trame garante des monopoles mondiaux des entreprises à travers la colère et la haine.

Pour le public israélien, ces sombres détails ne semblent plus avoir d’importance maintenant. La colère est due au fait que les otages auraient pu être épargnés si Netanyahu s’était engagé dans des pourparlers de cessez-le-feu pour donner la priorité au sauvetage des captifs.

Aujourd’hui, le trône du Roi Ubu vacille et tôt ou tard il va s’effondrer. En effet, la marmite sociale bout depuis longtemps, et les expédients habituels pour calmer la rue n'existent plus, le roi est nu et sa nudité s'est révélée au grand jour …

Par ce discours menaçant et belliqueux, le président de la république démontre de façon on ne peut plus claire qu’il n’est pas le président de tous les tunisiens, qu’il n’est pas au-dessus des partis mais qu’il est un parti à lui tout seul.

Honte à tous ceux qui ont participé à cette décision car ils passeront tôt ou tard à la poubelle de l’histoire de l’université publique tunisienne.

leur départ, et une nouvelle Constitution. On trouvera le moyen de nous entendre et de dégager un consensus. Et ce moyen, n'est pas le Régime actuel. C'est son contraire.