Gabès ne demande pas la lune. Elle demande qu’on cesse de l’empoisonner. Et si cela implique de repenser un modèle industriel obsolète, alors qu’il en soit ainsi. Car ce qui coûte cher, ce n’est pas la fermeture du groupe, c’est son maintien. Ce qui menace le pays, ce n’est pas le prix de la patate,