L’Association internationale des spécialistes du génocide (IAGS) a déterminé qu’Israël commet un génocide à Gaza.
C’est la plus grande association mondiale de spécialistes du génocide, avec environ 500 experts sur le sujet, dont de nombreux spécialistes de l’Holocauste. Le consensus a été atteint par une écrasante majorité d’experts : 86 %, pour être précis.
Tout le monde doit comprendre qu'« il n’y a pas de génocide à Gaza » n’est pas une déclaration qui peut être prise au sérieux en 2025. Amnesty International, Human Rights Watch, les experts des droits de l’homme de l’ONU, les groupes israéliens de défense des droits de l’homme tels que B’Tselem et la grande majorité des spécialistes du génocide s’accordent à dire qu’il s’agit d’un génocide. Le débat est clos. Les Hasbaristas ont perdu.
Le ministère israélien des Affaires étrangères affirme manifestement que l’évaluation de l’IAGS est « entièrement basée sur la campagne de mensonges du Hamas ». C’est vrai, les amis, les érudits du génocide sont le Hamas.
Ils sont tout simplement incroyablement méchants. Personne qui ne soit pas un super-vilain de dessin animé ou de CGI n'a le droit d'être aussi méchant. Si vous voulez être aussi diabolique, vous devriez être animé et ricaner tout en tordant votre moustache frisée en permanence.
La chose la plus stupide que l'on nous demande de croire au sujet de la Palestine est peut-être que toutes les grandes institutions de défense des droits de l'homme de la planète font partie d'une conspiration antisémite secrète fondée sur la diffamation du sang. Ce génocide est une insulte permanente à notre intelligence.
Israël aurait l’intention de couper la petite quantité d’aide dont il permettait l’entrée dans le nord de Gaza. Cela survient après que des groupes de surveillance soutenus par l’ONU et financés par les États-Unis ont déterminé qu’Israël est à l’origine d’une famine à Gaza, précédée de semaines au cours desquelles Israël a furieusement nié avoir affamé Gaza, précédée par l’annonce ouverte par les responsables israéliens de leur intention d’affamer Gaza.
La presse occidentale a répété comme un perroquet les éléments de langage des gouvernements américain et israélien selon lesquels le plan de Trump pour le nettoyage ethnique de Gaza sera « volontaire ».
"Le plan d’après-guerre de Gaza appelle au transfert 'volontaire' de l’ensemble de la population », titre le Washington Post.
"« Riviera de Gaza » gérée par les États-Unis : le plan de réaménagement d’après-guerre appelle à la « réinstallation volontaire » de millions de personnes », titre CNBC.
"Le plan de Trump pour Gaza prévoit le transfert « volontaire » des Palestiniens et l’allocation de 5 000 dollars à chacun d’entre eux », selon The Independent.
"Le plan d’après-guerre de Gaza propose un transfert 'volontaire', des 'jetons' en échange de terres", selon France 24.
À l’avenir, nous entendrons souvent ce slogan sur le transfert « volontaire », et tout le monde devrait comprendre que c’est un mensonge. Il n’y a rien de « volontaire » à abandonner une zone qui est délibérément rendue inhabitable par quelqu’un qui a du pouvoir sur vous. C’est exactement comme forcer quelqu’un à partir sous la menace d’une arme.
C'est de la propagande et une faute journalistique de la part des médias occidentaux que de promouvoir ce slogan.
J’ai vu un tweet de l’influenceur libéral Steven Bonnell, alias Destiny, qui disait : « La Palestine n’est qu’une mode pour la gauche. »
Les partisans de Joe Biden ne cessent de le répéter et cela en dit long sur leur vision du monde. Ils ne peuvent pas comprendre que quelqu'un s'oppose à un génocide parce que le génocide est mauvais ; il ne peut s'agir que d'une sorte de déclaration de mode, parce que c'est ce qui est à la mode en ce moment.
Ce sont des gens qui ne sont pas motivés par la moralité, les faits et la logique, mais uniquement par des impulsions égoïstes et cyniques qu’ils projettent ensuite sur tous les autres. Ils ne peuvent pas imaginer que quelqu’un fasse quelque chose parce que c’est la bonne chose à faire, ils doivent donc inventer une raison pour laquelle il doit y avoir quelque chose d’utile pour que leurs actions aient un sens.
Mais il est bon que, même à travers leur perspective narcissique et égocentrique, ils commencent à comprendre que prôner un génocide actif est maintenant largement considéré comme inacceptable, et que l’abandon de cette position insensée est le seul moyen de se faire accepter dans la société dominante. Ceux qui ne peuvent pas être ramenés dans le rang en faisant appel à la compassion et à la raison peuvent le faire par la pression des pairs et la stigmatisation sociale.
Quand vous voyez la façon dont les Juifs pro-génocide attaquent ouvertement les Juifs qui sont opposés au génocide, vous comprenez pourquoi il n’y a plus de Juifs qui sont ouvertement opposés au génocide. Il ne s’agit pas d’exempter quiconque de son obligation morale de s’opposer à un génocide en cours, mais seulement de mettre l’accent sur l’un des mécanismes de contrôle.
J’ai vu des sionistes essayer constamment de convaincre l’universitaire israélo-américain Shaiel Ben-Ephraim de recommencer à boire après être passé de la défense du génocide à l’opposition (il a ouvertement déclaré qu’il était un alcoolique en voie de guérison). Je reçois des critiques de la part des partisans d’Israël 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, mais je n’ai jamais eu à faire face à ce niveau de haine au vitriol et à cet indice d’octane élevé. Les non-Juifs comme moi qui s’opposent à l’Holocauste de Gaza n’ont tout simplement pas à faire face à ce niveau de poison. Et c’est exactement ce que je vois en ligne.
Encore une fois, cela ne justifie pas l’obligation morale qu’ont les Juifs et les non-Juifs de s’opposer aux atrocités génocidaires d’Israël. Je ne fais que souligner l’une des nombreuses dynamiques abusives utilisées pour maintenir le statu quo.