Une guerre totale contre l'Iran est sur le point d'éclater. Les conséquences seront terribles, mais les dirigeants américains et britanniques font preuve d'une complicité éhontée, imprudente et, en fin de compte, stupide.

En tant qu'"empereur" évincé, Biden a fait son "dernier pas" depuis les tribunes de l'ONU ; il n'était pas l'empereur d'antan, débordant de bravoure pour dire que les États-Unis sont de retour et que "c'est moi qui dirige le monde".

L’incapacité – et la réticence – des Nations Unies et de son Conseil de sécurité à arrêter un génocide diffusé en direct les a discrédités au-delà de toute rédemption possible. …

Andreï Martyanov s’est taillé une place unique et sacrée lorsqu’il s’agit d’une réflexion critique profonde sur toutes les questions de la guerre et de la paix.

Désormais, l’UE, la véritable Europe politique (et non celle dont on rêve, qui est idéale, souhaitée, etc.) n’est plus que la trappe enragée que les États-Unis lancent à leurs ennemis – alors qu’ils prennent du recul (les États-Unis n’ont PAS approuvé l’utilisation de missiles américains sur le terr

Si Washington sait quelque chose que les autres ne savent pas, c’est, tout simplement et par pure logique, parce qu’il s’est infiltré dans les élections d’un autre pays étranger.

La place Murillo dans la capitale bolivienne, La Paz, a attiré l’attention nationale et internationale mercredi dernier parce qu’elle a été le théâtre d’un coup d’État manqué.