Les voix de leurs maitres…

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Le plus agréable et le plus intéressant, dans les périodes pré-électorales, c’est les joutes entres les différents prétendants aux postes de responsabilité du pays.

C’est aussi les interviews des candidats qui essayent de montrer ce qu’ils ont de meilleur afin de convaincre les votants et recueillir leurs voix.

Les journalistes sont des acteurs neutres mais majeurs de ces exhibitions pour mettre en valeur les atouts, mais également les tares, de chaque candidat et aider les électeurs à mieux connaitre l’offre politique du moment.

Or, la plupart de nos « journalopes », se croient membres de cette compétition. Gharbi, El Wafi ou Akacha, pour ne citer que les plus chers payés, s’ingénient à battre leurs invités, les ridiculiser souvent et à les rabaisser toujours.

Ils aiment rouler les mécaniques pour jouer le rôle d’inquisiteur et exhiber un savoir que, souvent, ils n’ont pas. Ils se font généralement aider, dans ces sales tâches, par des chroniqueurs experts qui ne cessent de se ridiculiser en essayant de coincer leurs invités.

Il est évident que ces gus ne sont que des prismes pour influencer et jouer le jeu de leurs maitres. La Haica doit intervenir pour calmer l'ardeur de ces valets et les rappeler à un comportement moins partisan.

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