Gharbi, El Wafi ou Akacha, pour ne citer que les plus chers payés, s’ingénient à battre leurs invités, les ridiculiser souvent et à les rabaisser toujours.

Eux au moins, ils ont compris de quel coté se mange l'épaule du....peuple, bon appétit, messieurs, continuer à dormir, mais vous rendrez des comptes un jour.

Le mauvais exemple véhiculé par ses mêmes enfants avec en tête le garde du corps Badr, nonobstant sa coiffure de sioux, et son tatouage à la Scarface.

Le Syndicat national des journalistes tunisiens organise depuis hier un atelier de travail. Objectif : permettre aux professionnels de mieux naviguer entre les exigences contradictoires de l’information et d’une certaine orientation du citoyen…

A l’initiative de l’Institut français de Tunisie, une conférence-débat met le doigt sur une défaillance qui a des conséquences sur la physionomie de nos médias…