Ils sont venus dénoncer « l’occupation djihadiste de la Syrie après 14 ans de guerre » à Tunis, c’était le cinq Avril, sans tambour ni trompettes,
la colère d’Ahmed Seddik, flairant sans doute un projet de putsch, en tout cas de désignation orientée de l’extérieur, de Mongi Rahoui comme le candidat unique du Front populaire.
Que veut véritablement Watad en proposant publiquement la candidature de Mongi Rahoui à l’insu d’autres composantes du Front populaire et en anticipant la décision de son Conseil national ? Cherche-t-il à faire passer en force son candidat au risque de faire imploser la Jabha ?
Les Semeurs.tn الزُّرّاع