Un crime raciste clairement revendiqué dans des vidéos publiées par l’assassin, où il exprimait sa volonté de « tuer des étrangers » tout en se réclamant de l’idéologie d’extrême droite. Le Parquet national antiterroriste (PNAT) s’est saisi de l’affaire, en raison du caractère politique de l’acte.