ce sentiment d’injustice engendré par l’arbitrage scandaleux du referee algérien a été vécu comme une humiliation par tous les Tunisiens si bien que les rivalités sportives se sont subitement tues et que tous les Tunisiens tenaient à ce que le club de Bab Souika se rebiffât et infligeât une défaite

Vous ne le savez peut-être pas, mais la Coupe du monde de football est déjà terminée. Oui, je sais, il reste encore des matchs à jouer et on peut même espérer que le meilleur est à venir. Mais quelque chose s’est déjà envolée. Le premier tour, avec son calendrier ininterrompu, n’est déjà plus.

Voilà, la première phase du mondial est terminée. C’est le moment d’un premier bilan et de risquer quelques pronostics. Premier constat, le niveau de cette compétition n’est pas exceptionnel. Bien sûr, cela n’a rien à voir avec la calamiteuse coupe du monde de 1990 en Italie

Alors que ses poulains étaient conviés à battre le Panama largement à leur portée et pour ce faire, jouer l'offensive, il a réussi le tour de force d'aligner d'entrée 3 demis défensifs.

Comparé à d’autres disciplines, le football a souvent été qualifié de sport conservateur. Il est vrai que ses règles n’ont que très peu évolué au fil des décennies. Mais il faut atténuer ce propos car il y a tout de même eu des ruptures marquantes.

Le football obéit parfois à des lois empiriques, implicites. Ainsi, celle de « la faute inutile à la fin du match » qui amène un but.

Et la "mandhouma" a encore eu raison de R. Charfeddine, le président de l'Etoile qui a déjà pris les devants en déposant une plainte auprès de la Fifa (une grande première en Tunisie).