Oui, la Tunisie peut éviter, quoique de plus en plus difficilement, le passage par le FMI ou le cadeau empoisonné de l'extrême droite européenne. Encore faut-il qu’elle fasse preuve de suffisamment de maturité et de sens des responsabilités

Le FMI exige mordicus la réduction de la taille de l’Etat tunisien. Celui-ci devenu pléthorique, budgétivore, bureaucratique et de plus en plus rongé par la corruption.

Le score de risque global de la Tunisie (5.9/10) est actuellement supérieur à la moyenne de la région MENA (5.2/10)

si la France veut vraiment aider la Tunisie, qu’elle transforme, tout ou partie, ses créances en Investissements (avec les limites que cette manœuvre suggère), ou qu’elle lui apporte de l’appui budgétaire aux taux d’intérêt préférentiels pour alléger le fardeau pesant de son besoin de financement.

Cette transaction et les garanties de l’état permettent à la BNA de financer plus facilement ces crédits auprès de la banque centrale.

Monsieur Ezzeddine Saidane cherche, a priori, une promotion à tout prix, quitte à fournir des faux chiffres et des analyses erronées ! Il saute en effet d'une chaîne à une autre, d'une antenne à antenne à une autre -vous ne risquez donc pas de le rater- pour exposer ses analyses et prodiguer ses fam

Le Dinar poursuit sa chute sans parachute et les déficits extérieurs explosent. Les réserves en devises passent en deçà du seuil de sécurité, tout en étant financées par des dettes étrangères en continuel alourdissement.